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 mantra (sanskrit ; devanāgarī : मन्त्र ) 

 

Le mot mantra est composé de deux syllabes sanskrites : man qui signifie "penser" et tra qui signifie " se libérer" 

 

« délibération, maxime ; hymne sacré, formule mystique, incantation magique » 

 dans l'hindouisme, le bouddhisme, formule sonore et rythmée, 

fondée sur la répétition de sons réputés bénéfiques pour le corps ou l'esprit.

 

Le mantra est un support de méditation (ou à des fins religieuses) 

Le but de sa pratique peut être un bienfait physique ou spirituel 

C'est par la vibration du son et sa résonance qu'il a un pouvoir 

sur l' environnement, ainsi que sur les personnes qui le récitent. 

 

 

          plus d'infos avec le lien:

 

HRIM: bija mantra de la déesse Bhuvanesvrati. H= Shiva, R= Sakti, I= illusion transcendant et M= créateur de l'univers

SRIM: Lakshmi-bija représente l'énergie féminine

           S= divinité, R= richesse, I= plénitude, M= sans limiteKLIM: bija mantra du désir créateur de Siva

KLIM:   bija mantra du désir protecteur de Siva

           K= désir transcendantal, L= seigneur de l'espace, I= satisfaction, M= plaisir & douleur

Le sanskrit appartient à la famille des langues indo-européennes, 

dans la branche indo-iranienne.  Il a profondément influencé les langues 

du nord de l'Inde, comme l'hindi, le bengali, le cachemirien, le népalais..

On peut le considérer comme l'équivalent du latin en Europe

 

traduction: il n'y en a pas de littérale, mais on trouve un sens général 

exemple: Ra MA Da Sa , mantra de guérison qui harmonise notre être avec l'univers, donne mot à mot: 

Ra-       Soleil                                                   
Ma-       Lune                                                    
Da-       Terre                                                    
Sa-        infini,Impersonel                                  
SaSay-  infini global                                          
So-        sens personnel de fusion et d'identité 
Hung-    vibration infinie et réalité                      

 

Om  le son primordial - surgit du chaos avant la création 

c'est la contraction de a u m, qui représentent symboliquement les trois tendances:

création, préservation, dissolution / «o» étant la vibration originale, le «m» la résonance 

 

Samsara: cycle de réincarnations 

 

Avatar: incarnation d'un dieu ou d'un héros 

 

pour ne pas s'adresser n'importe comment à n'importe qui :

Déva / fem. Dévi : entité céleste, soit  Dieu /Déesse     Râja  Roi     Guru  Maître      Ishvara  Seigneur  

 

Sat-Chit-Ananda:

terme sanscrit désignant l'état de création de l'univers comme substrat de l'existence (Sat), de la Conscience (Chit)

et de l'Expérience ineffable (Ananda).

Pour Shankarâchârya, ce concept est similaire à celui de Brahman

 

 

le MULL MANTRA

 

  • Ik –     Un(e)

  • Ong - Énergie Créatrice

  • Kār – Manifestée, en action

  • Sat Nām – Vérité (Sat) est Son Nom, son Essence (Nām)

  • Kartā Purkh – Créateur Personnifié, Être qui crée

  • Nirbhao – Sans Peur

  • Nirvair – Sans Inimitié (plus exactement : Sans Rancœur)

  • Akāl Mūrat – Image de l'Éternel (kāl désignant le temps ou la mort, akāl ce qui est au-delà)

  • Ajūnī –     Au-delà de la Naissance (littéralement : qui n'est pas passé par une Jūnī, une matrice, ou un sexe féminin. 

  • Saibhang – Existant (illuminé ou exalté) de lui-même

  • Gurprasād - Par la grâce du Gurû

  • Jap – Répétons

  • Âd Sach – Vrai(e) au Commencement (Âdi)

  • Jugād Sach – Vrai(e) à travers les âges (les Yugas)

  • Hai Bhī Sach – Vrai(e) au moment présent

  • Nānak Hosī Bhī Sach – Ô Gurū Nanak, Cela sera Vrai.

 

 

Bodhisattva (devanāgarī : बोधिसत्त्व ; pâli : bodhisatta ; chinois traditionnel : 菩薩 et simplifié : 菩萨 (púsà) ;

 japonais : 菩薩 (bosatsu) ;            sattva être, bodhi éveil, vocabulaire du bouddhisme)

est un terme sanskrit qui désigne dans le bouddhisme hinayana un bouddha avant que celui-ci n'ait atteint l'éveil. 

 

 

 

     Ies dieux de l'Inde    

 

Indra évoque le pouvoir, la force et le courage des rois.
Au sein du védisme ancien, cette puissance agissante se manifeste dans la fonction guerrière des kshatriyas. Son pouvoir illimité de vainqueur invaincu lui permet d’être un des Ādityas. Comme il tue le Vrtra, le pouvoir du sombre nuage rétenteur des eaux célestes, il est aussi invoqué sous le nom de Vrtrahan. Une troupe de jeunes guerriers, les Maruts, l’accompagne. Sa puissance est celle d’un général d’armée, d’un taureau géniteur, d’un ami généreux.

L’avènement ultérieur de l’hindouisme transforme ce dieu tutélaire des Aryas en roi des devas, puis en roitelet supplanté par Vishnou et Shiva. L’iconographie le réduit à un personnage anthropomorphe qui chevauche l’éléphant Airâvata.

Indra est l’un des principaux dieu des Aryens, des Aryas. Dans la triade des dieux védique qui dominent tous les autres et qui sont, Agni (le dieu du feu), Vâyu (le dieu du vent) et Sûrya (le dieu soleil), Indra est le souverain de l’espace. Il incarne les qualités de tous les dieux runis. Il est le dieu de la foudre, sont équivalent Grec est Zeus ! Sont ennemi principale est "Vritra" le démon de la secheresse. Vritra, Vala, et Shambara sont les puissances des ténèbres constament combatus par Indra. les compagnons de Indra sont les Mâruts, les divinités du monde subtil et de la sphère intermédiaire ou la sphère de l’espace, situés entre le ciel et la terre. Indra est toujours vénérer en Inde et par quelques aryanistes en Iran.

 

BRAHMA :

 

Celui qui est ! Avec Vishnu et Shiva, Brahmâ contitue la Trimûrti. Dieu de la Création, Brahmâ est né émergeant d'un lotus, à l'emplacement du nombril de Vishnu reposant sur les eaux Primordiales.

Lorsque Brahmâ est représenté, il a quatre têtes; on le trouve au mur nord des temples.

Il porte quelquefois les livres des Veda, qu'il a créés.

Son animal-véhicule est une oie (hamsa) ou un cygne (Hamsa)

 

ses autres noms :

Prajâpati, seigneur des créatures,

Lokesha, maître des mondes

Vishvakarman, celui qui fait tout

Pitâmaha, grand ancêtre

Hiranyagarbha, embryon d'origine

Svayambhu, existant par soi-même

 

Agni est l’une des principales puissances agissantes numineuses du Védisme, seigneur du feu sacrificiel et du foyer. Dans l’hindouisme, Agni est un des dieux principaux, que l’iconographie représente chevauchant un bélier.

Agni chevauche un bélier car c’est l’animal associé au feu, dans le principe des septs chakras majeures de l’Hindouisme. Le feu est l’élément attribué à manipura, la troisième chakra. Pour la petite histoire, ram (bélier dans une traduction de l’anglais au français) est le mantra associé au troisième chakra.

 

Kâlî, la Noire est, dans l’hindouisme, la déesse du Temps, de mort et de délivrance, mère destructrice et créatrice. C’est l’aspect féroce de la Devî, la déesse suprême, qui est fondamentale à toutes autres déités hindoues. Kâlî était déjà présente dans les Veda, comme étant une des sept langues de feu du dieu Agni (la même racine que le mot latin ignis).

Son nom dérive du mot kala, le temps en sanskrit, celui qui détruit toute chose. Celui qui la vénère est libéré de la peur de la destruction. C’est également la femelle noire, à l’inverse de son époux, Shiva, couvert de cendres, qui est blanc ; c’est sa shakti, l’énergie sans laquelle le dieu n’est qu’une enveloppe vide.

Kali est la déesse la plus effrayante que l’on puisse imaginer : elle transcende toutes les limites. Noire, nue, brandissant une épée ensanglantée dans une main, une tête coupée dans l’autre, la poitrine couverte d’un collier de crânes, échevelée, elle grimace, tire une langue rouge du sang dont elle s’abreuve. Autour d’elle, des cadavres ; sous ses pieds, le corps inerte de celui que l’on présente comme son mari : Shiuw Ji. Le Grand Dieu est pure conscience, totalement inactif. Kali est son énergie, elle est le « i » de son nom : « shv » signifie corps sans vie (en sanscrit, « Shiuw » s’écrit Shiv). Figure centrale du tantrisme, Kali représente le Grand pouvoir cosmique dont Durga et Parvati sont d’autres aspect

 

Shiva transcrit parfois par Siva ou Çiva, « le bon, le gentil, qui porte bonheur » — est un dieu hindou, un des membres de la Trimoûrti avec Brahma et Vishnou.

Shiva a probablement une origine dravidienne et il est beaucoup plus complexe que Vishnu. Dans la Trimurti, Shiva est le principe destructeur, il représente la tendance centrifuge "Tamas". Tout ce qui dans l’univers tend vers la dispersion, l’annihilation, vers l’obscurité, la non-existence, est représenté par Shiva.

Mais Shiva est en même temps le dieu de la destruction (Rudra) et le symbole de la fertilité.

Pour les shivaïtes, Çiva est la personnification de l’Absolu, le principe destructeur et en même temps régénérateur du monde, dispensateur de mort et de renaissance.

 

Kâma est la divinité hindoue du désir, et plus particulièrement du désir amoureux. Comme l’Éros grec, il utilise un arc et des flèches pour répendre l’amour. Cet arc est fait d’une tige de canne à sucre et lançant des flèches de fleurs. Mentionné dans le Rig-Veda comme le plus puissant des dieux, il symbolise le moteur qui pousse les hommes à la perpétuation de leur espèce. Par suite, il régente le samsâra.

Son épouse est Rat

 

Hanuman, le dieu-singe, est le fils du Vent, Vâyu, un Dieu Védique, et aussi Dikpala. Sa mère est une immortelle Apsara du nom d’Anjana qui avait pris la forme d’une femelle de singe. Hanuman a un corps d’acier et l’esprit d’un yogi. Sa bravoure physique, sa discipline mentale et sa pureté spirituelle lui ont gagné de nombreux admirateurs. C’est un grand dévot de Vishnu et les légendes le mettant en scène se trouvent surtout dans le Râmâyana.

Archétype du « grand héros, Mahabhir », Hanuman est vénéré dans toute l’Inde sous divers noms : Maruti, Pavan Sut (fils du vent), Hanumat… Chaque mardi, les fidèles se pressent aux temples lui rendre hommage : « bajrangbali ki Jay ! Vive celui qui a la force de la foudre » crient-ils. Le « Sundar Kand », cinquième livre du Ramcharitmaanas raconte les exploits d’Hanuman Ji au service de Ram. Adoré à travers toute l’Inde comme le serviteur éternel et dévoué de Sri Ram, il est l’idéal du dévot. Capable de concentrer son esprit sur le but à atteindre, rien jamais ne l’arrête dans sa tache au service du Seigneur. Une représentation courante le montre déchirant sa poitrine, laissant apparaître le couple Sita Ram emplissant son cœur.

 

Krishna, aussi appelé Yadav, est une divinité importante de l’hindouisme. Dans la plupart des traditions hindoues, il est lui-même un dieu et également le huitième avatar (incarnation) de Vishnou. Il intervint notamment pour venir en aide à Arjuna, dans le Mahabharata. Pour les membres du vaishnava Chaitanya, il représente la divinité suprême à l’origine de toutes les autres, l’instructeur universel. C’est la divinité la plus vénérée de l’Inde à l’origine de nombreuses sectes bhâkta dédiées à son adoration.

Krishna est souvent représenté comme un gourmand enfant dans son enfance..., puis un séduisant joueur de flûte dans son adolescence et un puissant guerrier dans sa maturité.

 

Dans l’hindouisme, Ganesh, Ganesha, ou Vinayak ou souvent appelé Ganapati dans le sud de l’Inde (« le seigneur des troupes de divinités » ou mieux « le seigneur des catégories »), est le dieu de la sagesse, de l’intelligence, de l’éducation et de la prudence, le patron des écoles et des travailleurs du savoir. C’est le dieu qui lève les obstacles. Il est le fils de Shiva et Pârvatî, l’époux de Siddhî, le succès et de Riddhî, la richesse. Il joue un rôle important dans le tantrisme.

Protecteur du foyer, on l’invoque aussi avant toute entreprise, pour le prier de lever les Obstacles. Vénéré dans l’Inde entière par des foules immenses, comme par chacun dans l’intimité de son foyer, son culte est familier.

Traditionnellement représenté avec un corps de gros homme de couleur rouge possédant généralement quatre bras et une tête d’éléphant à une seule défense, son vâhana ou véhicule est un rat ou une souris, Mûshika. Ce dernier symbolise parfois le dieu à lui seul, comme peut le faire Nandi pour son père. Les deux se complètent, l’éléphant massif, puissant et réfléchi, le rat petit, mobile et malicieux, ont ainsi tous les atouts nécessaires pour résoudre les problèmes du monde.

 

Gangâ est la déesse du Gange, fille de l’apsarâ Menakâ et d’Himavant, le roi de l’Himalaya. C’est la mère de Kârttikeya - Skanda - avec Agni et qui est appelé par suite Gangâputra. Elle est aussi la mère de huit garçons avec le roi Shântanu, mais lors de leur séparation, elle les noya tous sauf un, Bhîshma.
Elle est l’épouse de Shiva qui la porte dans sa chevelure. Elle est parfois appelée Bhagîrathî, « descendante de Bhâgirathâ », car c’est grâce aux ascèses de ce rishi qu’elle descendit sur terre afin de purifier les êtres de leurs péchés.

 

VISHNU ET LAKSHMI

 

Shri est la terre et Hari est son support...

il est le désir et elle est ce qui est désiré. 

Lakshmi est la lumière et Hari, lui qui est tout 

et le souverain de tout, est la lampe.

elle, la mère du monde, est la liane 

et Vishnu l'arbre sur lequel elle s'enroule.

il est tout ce qui est masculin en ce monde 

et elle est tout ce qui est féminin.

il n'y a rien d'autre qu'eux.

[Vishnu Purâna] 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

       les Chakras      

 

Le Muladhara Chakra : 1er chakra, encore appelé chakra-racine Situé au niveau du périnée, il est protégé par le sacrum et le coccyx. C’est le chakra de base sur lequel s’appuie l’énergie.

Ce lieu est la zone instinctive, celle de nos pulsions, de nos désirs inexpliqués (qui naissent hors de la raison), de nos élans premiers : l’énergie primale, l’impulsion vitale.

Accepter de ressentir ce chakra, la zone périnéale, permet d’accepter notre sexualité instinctuelle et ensuite de la canaliser. Chez l’homme, l’instinctuel est vécu souvent comme une gêne. Il ne veut pourtant pas se priver de certaines sensations sexuelles très agréables, par exemple : l’utilisation de sa puissance, de sa force dans la sexualité. Pour la femme, l’animalité est son point faible. Apprendre à ressentir son plaisir dans sa puissance va à l’encontre de la culture patriarcale qui réserve ce style de sexualité aux femmes « de mauvaise vie » mais surtout pas à la mère de leurs enfants.

L’éveil de cette zone et l’acceptation de cette énergie permettent de commencer la route vers la transcendance, suite du yoga tantrique.

Le Swadisthana Chakra : 2ème chakra. Il est situé en dessous du nombril. C’est un centre énergétique yin plutôt récepteur. Ce chakra est le lieu de nos peurs, de la vulnérabilité et, parallèlement, de notre force. Le lieu de la vie et de la mort, de la possessivité, de l’avoir et de la sécurité. Les orientaux situent à ce niveau le hara ou le centre de force vitale.

Etre totalement dans son « Hara », c’est être dans une confiance vis-à-vis de ses capacités face à la vie.

Les femmes qui manifestent souvent des douleurs aux ovaires devraient se sentir concernées par un travail sur ce chakra. Les peurs s’enfouissent dans cette partie du corps et vont jusqu’à résonner au niveau des reins, du sacrum, de l’anus et du bas du dos. Ces parties sont sacrées. Elles sont représentées comme étant le siège de la Kundalini (nom donné à l’énergie sexuelle, en Inde).

Travailler sur ce chakra apporte le sentiment de puissance et aide à l’acceptation du séparé, de l’autre qui n’est pas moi.

Manipura chakra ou plexus solaire : 3ème chakra. Il est le siège du Moi émotionnel, de l’affirmation de Soi. Ce centre énergétique est également celui du choix. 

Nous ressentons souvent ce point noué ou simplement comme un creux à cet endroit lors d’émotions refoulées, bloquées ou mal exprimées. Quelquefois un stress intense et répété peut nouer cette zone de façon chronique. 

La bonne circulation de l’énergie à ce niveau est nécessaire afin de bien communiquer, de bien digérer, au sens propre comme au sens figuré. Le rayonnement personnel concerne ce chakra. Certains l’investissent à l’excès, cela peut frôler le narcissisme et le fonctionnement égocentrique. A l’inverse, ce chakra négligé provoque dévalorisation et dépréciation de soi.

Le 3ème chakra demande un juste équilibre entre le yin et le yang, l’introverti et l’extraverti en nous. 

Travailler le 3ème chakra, c’est oser faire un choix, bon ou moins bon, sans s’accrocher à la réponse, au résultat. Le lâcher-prise et l’abandon de la volonté ou de la maîtrise sont alors perçus. Et un tel lâcher-prise est nécessaire pour relier le 2ème au 4ème chakra.

Anâhata-chakra ou Chakra du cœur : 4ème chakra celui de l’ouverture, du don gratuit, le chakra de l’amour. On dit traditionnellement que ce chakra est celui de la femme, car pour le féminin, tout est relationnel alors que l’homme a parfois quelques difficultés à accéder librement à l’ouverture du cœur. Le travail sur le chakra du cœur touche la vulnérabilité et le besoin profond d’être aimé. L’homme craint d’être possédé quand il montre sa vulnérabilité. Bien sûr, les enjeux de la relation à la mère sont réactivés. Pourtant, quelle douceur de reconnaître ce besoin et d’accepter de le combler ! C’est libérateur.

Van Lysbeth dit : « la méditation n’exclut pas le sentiment, bien au contraire. C’est le moteur même de la méditation ». Et nous pensons en effet, qu’un des secrets de la reliance sexe-spiritualité se découvre dans l’ouverture du cœur et l’acceptation pleine et entière de nos sentiments.

Le chakra de la gorge ou Vishudda Chakra : 5ème chakra On dit habituellement que ce chakra concerne la différenciation et l’expression ; mettre des mots sur le ressenti, l’exprimer par la parole ou par le biais des différentes formes d’expression, jusqu’à la créativité et l’expression artistique.

Le chakra de la gorge fait le lien entre l’intérieur et l’extérieur. Par exemple, chanter sans se juger, procure une sensation agréable et une meilleure perception de soi. La gorge relie la tête au reste du corps. Le chant ou les exercices sur les sons ouvrent à la plénitude car il est possible de vider tout ce qui nous encombre : tristesse, colère etc. jusqu’à ressentir la paix.

Nos échanges avec l’environnement impliquent ce chakra : « sortir de soi » (expire, parler, chanter, crier...), mais aussi « rentrer en soi » (inspirer, manger, avaler). Les méditations proposent toujours de se connecter à la respiration, de sentir l’air qui entre par le nez, qui coule dans la gorge et descend plus bas. C’est une manière fabuleuse pour conscientiser le chakra de la gorge. Très naturellement, si on pratique la méditation régulièrement, la bouche, la gorge, le nez, le haut de la poitrine se réveillent et s’ouvrent au subtil. Ceux qui méditent régulièrement sont vigilants à leur nourriture.

Le bon fonctionnement de ce centre énergétique aide aussi à bien se situer au sein de la société, à dire oui ou non, à parler de soi et poser ses limites, à prendre sa place, à parler avec une voix posée.

Ajna Chakra : 6ème chakra. On l’appelle encore le 3ème œil. C’est le chakra de la clairvoyance, de la claire-audience, des perceptions justes et aussi de la contemplation, de la conception et de la représentation.

C’est un chakra très utile pour « aller de l’avant ». Cependant, il est conseillé de toujours relier ce 6ème chakra aux autres chakras. En effet, le risque, quand ce chakra est surinvesti, est de devenir trop cérébral, trop dans sa tête, dans son mental, déconnecté de son corps, de son ressenti, incapable d’accepter l’imprévisible. La spiritualité ne s’appréhende pas exclusivement dans les deux derniers chakras. Ni d’ailleurs dans aucun autre en particulier mais dans la bonne circulation de l’énergie au travers de la chaîne de tous ces centres d’énergie. C’est un état et une intention. 

Ce chakra concerne notre vision de nous-mêmes, des autres, de la vie, du monde. Il nous aide à devenir conscient de nos parts d’ombre. La lumière intérieure, quand elle est perçue nous permet d’accepter le fait que nous ne changerons jamais radicalement. Mais les yeux grands ouverts « à l’intérieur », sur Soi et sur l’Autre, on découvre les demi-teintes, les clairs-obscurs, toute une gamme de nuances de soi, de l’autre et de la vie qui nous est offerte. 

Ce qui change, c’est notre regard sur le monde et sur l’autre. Il est possible alors de faire des choix nouveaux en toute humanité.

Avec le sixième chakra, nous introduisons le sens du sacré. C’est une représentation d’un tiers commun à tous.

Sahasrara Chakra : 7ème chakraIl est encore appelé chakra de l’éveil. C’est celui de la réalisation de soi, de la libre pensée, de la libération des croyances. A ce palier, il y a remise en question des fondements de l’éducation, des transmissions. C’est un chakra qui donne accès à notre part divine et créatrice.

Nous avons la liberté de créer nos existences lorsque nous sommes conscients des liens hérités de nos ancêtres. Alors, il devient possible de rejeter ceux qui nous gênent et de garder ceux que nous jugeons bons. Nos comportements et nos choix deviennent vraiment les nôtres. Nous ne sommes plus agis mais acteurs, créateurs. Dans cette étape, il n’est pas besoin de vraiment pratiquer, mais d’être bien avec soi-même…

Il est notre enracinement vers le haut, le cosmos, comme l’est le Muladhara Chakra vers le bas, la terre, la matière.

Nous sommes persuadés aujourd’hui que plus nous sommes enracinés sur cette terre, plus nous sommes dans la matière et plus nous avons accès au divin, à la transcendance.

La relation est vitale, vivante. C’est elle qui nous rend humain et nous donne accès au divin. Nous sommes inter-reliés, que nous en soyons conscients ou pas. Dans la relation naissent beaucoup de sentiments. Et ce peut être une méditation que d’être à l’écoute de soi en restant relié à l’autre dans la perception tantrique.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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